Skupina Seven & I Holdings, majitel sítě 7-Eleven, uvedla, že bude muset přehodnotit svůj dodavatelský řetězec a snížit náklady, protože američtí spotřebitelé čelí dopadu celních opatření USA.
„Domnívám se, že nás čeká náročnější maloobchodní prostředí,“ uvedl nastupující generální ředitel Stephen Dacus na tiskové konferenci.
Cla, která americký prezident Donald Trump zavedl nebo plánuje, výrazně zvyšují ceny, což je těžkou zkouškou pro maloobchodní řetězce. Důvěra amerických spotřebitelů se v dubnu propadla a 12měsíční inflační očekávání dosáhla nejvyšší úrovně od roku 1981.
Dacus, který se ujme vedení příští měsíc, dodal, že největší dopad cel nebude přímo na dodavatele, ale na chování spotřebitelů.
„V takovém prostředí je třeba se důkladně podívat na celý dodavatelský řetězec a utáhnout náklady, mít je pod naprostou kontrolou,“ zdůraznil.
Společnost momentálně čelí nevyžádané nabídce na převzetí ve výši 47 miliard USD od kanadské společnosti Alimentation Couche-Tard a snaží se zvýšit svou hodnotu. Klíčem k tomu má být zlepšení výsledků americké divize s více než 12 000 pobočkami.
Severní Amerika tvoří 73 % celkových tržeb skupiny Seven & I.
Společnost stále plánuje vstup své severoamerické divize na burzu ve druhé polovině roku 2026, avšak podle Dacuse záleží na vývoji tržních podmínek a nelze vyloučit odklad.
L'euro aurait pu sombrer en raison de la crise politique en France et de la hausse des rendements obligataires européens. Le dollar américain subit une pression en raison de l'illégalité déclarée des tarifs douaniers de Donald Trump, de la nécessité de restituer des fonds, et de la pression de la Maison-Blanche sur la Réserve fédérale. Cependant, c'est le rapport sur l'emploi aux États-Unis pour le mois d'août qui déterminera le sort final de l'EUR/USD. À tous égards, la consolidation actuelle de la paire de devises principale semble logique. Mais cela ne peut pas durer éternellement. Sommes-nous en attente d'une rupture !?
À l'approche de la publication des chiffres de l'emploi hors agriculture, la volatilité de l'EUR/USD augmente fortement. Se couvrir contre la faiblesse du dollar américain devient de plus en plus coûteux. Cela est attendu, car les experts de Bloomberg prévoient un quatrième mois consécutif de croissance de l'emploi inférieure à 100 000 en août. Si cela se réalise, cela marquerait la plus longue série de faiblesse depuis la pandémie de COVID-19.
Malgré la crise politique, les investisseurs gardent espoir. L'enchère des obligations françaises a été un succès. Il y a l'espoir que des élections législatives anticipées pour l'Assemblée nationale seront évitées, sans parler de la démission du Président Emmanuel Macron.
Les risques à la hausse pour l'euro augmentent. MUFG a relevé ses prévisions pour le taux EUR/USD à 1,20 d'ici la fin de 2025 et à 1,25 d'ici la fin du premier semestre de 2026. La banque s'attend à ce que la pression sur le dollar se poursuive, alimentée par les attentes d'un cycle de relâchement accéléré de la Fed et par l'interférence de la Maison Blanche dans l'indépendance de la banque centrale. Selon MUFG, l'économie de la zone euro est probablement plus résiliente face aux tarifs de Trump qu'on ne le pense actuellement.
Les marchés se préparent au rapport sur l'emploi américain pour le mois d'août, mais la deuxième semaine de septembre sera également bien remplie. Les données sur l'inflation aux États-Unis et la réunion de la Banque Centrale Européenne attirent une attention accrue des investisseurs et entraînent une volatilité supplémentaire de l'euro.
Tandis que la BCE ne devrait pas augmenter le taux de dépôt au-delà de son niveau actuel de 2 %, les marchés scrutent les indices quant à la fin véritable du cycle de l'assouplissement monétaire. Si cela se confirme, ce serait un signal positif pour l'EUR/USD. Cependant, tout signe d'intervention de la BCE sur les marchés de la dette de la zone euro serait clairement négatif. Christine Lagarde a déjà exprimé ses inquiétudes concernant les mouvements des obligations françaises, mais cela ne signifie pas nécessairement que la BCE agira pour stabiliser la situation.
Ainsi, l'EUR/USD est coincé dans une fourchette de trading étroite en attendant des événements clés : les données sur l'emploi et l'inflation aux États-Unis ainsi que la réunion de la BCE. Chacun de ces événements pourrait libérer l'euro de sa "cage".
Sur le graphique journalier de l'EUR/USD, un modèle "Spike and Ledge" est observé. Une cassure au-dessus de la limite supérieure près de 1,1730 serait un signal d'achat ; une cassure en dessous de 1,1590 serait un motif de vente. Une stratégie plus agressive consiste à acheter à partir de 1,1705 ou à entrer short à partir de 1,1605.
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